Ref. 101166
Classiques ou modernes, qu'est-ce qui se vend le mieux ?
Question à : Bernard Dutheil – Dutheil Automobiles - Foulayronnes
Classiques ou modernes, qu’est-ce qui se vend le mieux ?
« C’est une question qui revient régulièrement et plus encore aujourd’hui. On peut citer mon exemple. J’exerce exerce mon activité de concessionnaire Jeep et de vente de véhicules premiums depuis plus de 20 ans. Dès le départ, j’ai toujours voulu garder dans mon hall d'exposition une place de choix pour les automobiles dites "classiques". Une stratégie payante puisque le marché des véhicules de collection ne cesse de s’accroître. À l'occasion de chaque nouvelle vente aux enchères, les prix grimpent et, même si toutes les marques ne sont pas logées à la même enseigne, le marché connaît un accroissement global régulier, tiré par deux ou trois marques dont les prix de certains modèles ont littéralement explosé.
En outre, cette ouverture sur le marché des automobiles classiques me permet aussi bien de vendre un véhicule "moderne" en reprenant une automobile ancienne, que l'inverse, preuve que des ponts existent entre ces deux mondes. On a ainsi réalisé quelques transactions « atypiques » comme cette Mercedes 600 6.3L de 1971, reprise en vendant un véhicule beaucoup plus récent. La Mercedes fut quant à elle à son tour vendue à Milwaukee dans le Wisconsin... La Jeep Willys reste une valeur sûre, comme en témoigne celle vendue en Ukraine, qui malgré la situation qu'on connait, a servi dans un film... En vendant une Jeep Wrangler Unlimited récente, on à aussi repris un Pick-Up Ford F100 de 1968 qui partira on ne sait où… et ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres.
Si au départ cette place laissée aux automobiles classiques était surtout une affaire de passion (Bernard Dutheil a participé à deux reprises au Monte-Carlo historique à bord d'une Ford Mustang de 1965), c’est aujourd’hui un véritable marché qui ne s’oppose pas à celui des voitures modernes, mais le complète. C’est pour cette raison que, plutôt que d’opposer la modernité des dernières nouveautés automobiles au charme et au cachet des anciennes, nous nous attachons à offrir le choix entre les deux et surtout à passer de l'une à l'autre sans difficulté. Une dualité qui plait aux clients qui ont ainsi l’opportunité d’échanger une ancienne pour une moderne ou une moderne pour une ancienne. »
Classiques ou modernes, qu’est-ce qui se vend le mieux ?
« C’est une question qui revient régulièrement et plus encore aujourd’hui. On peut citer mon exemple. J’exerce exerce mon activité de concessionnaire Jeep et de vente de véhicules premiums depuis plus de 20 ans. Dès le départ, j’ai toujours voulu garder dans mon hall d'exposition une place de choix pour les automobiles dites "classiques". Une stratégie payante puisque le marché des véhicules de collection ne cesse de s’accroître. À l'occasion de chaque nouvelle vente aux enchères, les prix grimpent et, même si toutes les marques ne sont pas logées à la même enseigne, le marché connaît un accroissement global régulier, tiré par deux ou trois marques dont les prix de certains modèles ont littéralement explosé.
En outre, cette ouverture sur le marché des automobiles classiques me permet aussi bien de vendre un véhicule "moderne" en reprenant une automobile ancienne, que l'inverse, preuve que des ponts existent entre ces deux mondes. On a ainsi réalisé quelques transactions « atypiques » comme cette Mercedes 600 6.3L de 1971, reprise en vendant un véhicule beaucoup plus récent. La Mercedes fut quant à elle à son tour vendue à Milwaukee dans le Wisconsin... La Jeep Willys reste une valeur sûre, comme en témoigne celle vendue en Ukraine, qui malgré la situation qu'on connait, a servi dans un film... En vendant une Jeep Wrangler Unlimited récente, on à aussi repris un Pick-Up Ford F100 de 1968 qui partira on ne sait où… et ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres.
Si au départ cette place laissée aux automobiles classiques était surtout une affaire de passion (Bernard Dutheil a participé à deux reprises au Monte-Carlo historique à bord d'une Ford Mustang de 1965), c’est aujourd’hui un véritable marché qui ne s’oppose pas à celui des voitures modernes, mais le complète. C’est pour cette raison que, plutôt que d’opposer la modernité des dernières nouveautés automobiles au charme et au cachet des anciennes, nous nous attachons à offrir le choix entre les deux et surtout à passer de l'une à l'autre sans difficulté. Une dualité qui plait aux clients qui ont ainsi l’opportunité d’échanger une ancienne pour une moderne ou une moderne pour une ancienne. »